La situation à Hong-Kong est marquée depuis plusieurs mois par des manifestations de masse parfois violentes. Le déclencheur de ces mouvements fut le projet de loi du gouvernement du territoire donnant la possibilité d’extrader vers la Chine continentale, des citoyens de Hong Kong, condamnés ou accusés par la justice. Ce projet de loi est maintenant retiré. Les manifestants estimaient que cette loi constitue une violation du principe : « un pays, deux systèmes » instauré lors de sa réunification à la République populaire de Chine en 1997 (voir les articles de Communistes Hebdo N°624 et N°371
Le parti révolutionnaire COMMUNISTES condamne l’arrestation par les autorités indiennes des Secrétaires généraux du PC d'Inde (marxiste) et du PC d'Inde, les camarades Sitaram Yechury et Doraisamy Raja, à l'aéroport de Srinagar, capitale de l’État indien de Jammu-et-Cachemire, et leur ont refusé l'entrée dans l’État où ils se sont rendus pour tenir des réunions avec les Organisations de leurs partis.
Des milliers d’habitants de Hong Kong sont sortis dans la rue pour manifester pour le retrait complet du projet de loi d’extradition donnant la possibilité d’extrader vers la Chine, des citoyens de Hong Kong, condamnés ou accusés par la justice (projet de loi actuellement suspendu) et qui est à l’origine de la mobilisation. Les manifestants estiment que cette loi constitue une violation du principe : « un pays, deux systèmes » instauré lors de sa réunification à la République populaire de Chine en 1997.
Pourquoi un statut particulier à Hong Kong ? Hong Kong cédé à l’empire britannique en 1839 est devenu colonie britannique.
Au Sri Lanka les attaques contre des églises et des hôtels ont fait 253 victimes et 485 blessés. Elles se sont produites dans un pays instable, où la situation politique est particulièrement tendue depuis un an. En mars 2018 des manifestations violentes anti musulmanes, magasins et habitations incendiés, on fait plusieurs morts, des blessés, des centaines d’arrestations.