Le 9 avril, après bien des difficultés, les pays de l'Union Européenne (UE) sont finalement parvenus à un accord sur ce qu’ils ont appelé : une réponse économique commune face à la crise liée à la pandémie du Covid19. Le ministre français de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, a salué un "excellent accord". La Confédération Européenne des Syndicats, son Président L. Berger (secrétaire général de la CFDT) se sont aussi réjouis de cet accord.
Le 30 mars, s’est éteint à 98 ans Manólis Glézos, une figure illustre de la résistance grecque à l’occupation fasciste italienne du Dodécanèse en 1939 et de l’Allemagne nazi à partir de 1941. Le 30 mai 1941, il monta, en compagnie d'Apóstolos Sántas, au sommet de l'Acropole à Athènes et arracha le drapeau nazi qui flottait sur la ville. Une plaque sur l’Acropole commémore cet acte de résistance.
Manólis Glézos participa à la résistance à l’occupation nazi et combattit contre la dictature des Colonels. Il fut membre du Parti Communiste de Grèce avant de rejoindre le Parti Socialiste (PASOK) puis Syriza. Nous saluons avec émotion une des figures grecques des plus emblématiques de la lutte contre le fascisme et le nazisme.
Paris le 6 avril 2020
Le 7 février, devant les stagiaires de la 27éme promotion de l’école de guerre, Macron a posé les bases de la stratégie de défense et de dissuasion de la France. Le choix n’est pas fortuit, il renvoie à l’intervention du Général de Gaulle qui : « aux premiers jours de la Vème République, dans un discours resté fameux, ...avait annoncé le 3 novembre 1959, il y a maintenant 60 ans, la création de ce qu’il avait alors appelé la « force de frappe » . Le discours de Macron se veut fondateur d’une stratégie dans son temps.
C’est bien l’armée rouge de l’URSS qui a libéré le camp d’extermination d’Auschwitz. Plus généralement, c’est bien l’URSS qui a porté les coups principaux qui ont mené l’armée de l ‘Allemagne nazie à la capitulation en 1945 et qui ont permis de mettre un terme à la politique criminelle de ses dirigeants.