Le projet de loi concernant l’accord commercial entre l’UE et le Canada, dit CETA vient d’être ratifié cette semaine à l’Assemblée. Il était entré en vigueur suite à sa ratification par le parlement européen, de manière provisoire en février 2017. A l’heure actuelle, seuls 13 pays sur 28 l’ont voté, les gouvernements font face à une forte levée de boucliers.
Le patronat français n’a pas attendu des accords comme le CETA pour s’enrichir sur le dos de millions de travailleurs et au détriment de toute considération écologique, sociale et sanitaire, si le CETA fait peser des menaces concernant la santé publique, il dessaisit surtout de leur souveraineté les Etats, un nouveau droit leurs sera imposé :
Le gouvernement américain est enshutdownpartiel depuis le 22 décembre, c’est un mécanisme qui se met en place lorsqu’il n’y a pas d’accord sur le budget. Donald Trump exige un projet de loi sur le financement d’un mur à la frontière sud des États-Unis d’un coût de 5 milliards de dollars, c’est l’objet du désaccord. Le projet a franchi la Chambre des Représentants mais pas le Sénat, qui a refusé de voter le budget. Ce shutdown est le dix-neuvième depuis 1976, le troisième depuis le début de l’année.
Les élections de mi-mandat étaient suivies avec attention par la presse internationale et firent l’objet d’une intense campagne politique aux USA, campagne largement animée par le président Trump qui intervint dans plus de quarante meetings. Ce qu’ont retenu les media de cette campagne, c’est la violence des propos concernant les questions migratoires mais peu d’entre eux se sont intéressés aux questions économiques et sociales liées à la politique des monopoles capitalistes US qui mènent la danse au plan intérieur comme au plan international. Parmi les «jeunes pousses» du Parti Démocrate présentées comme la base de son renouveau, il est peu de dire qu’elles
En annonçant le retrait des USA du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), Donald Trump ajoute à la longue liste de renoncement à des traités commerciaux comme celui sur le nucléaire iranien, celui d’un traité de désarmement particulièrement important. Ce traité a été signé en 1987 et ratifié en 1988 entre les USA et l’URSS. Il consiste en l’élimination des missiles de croisières et balistiques tirés du sol, à charges nucléaires ou conventionnelles d’une portée comprise entre 500 et 5.000 kilomètres. Ce traité représente une avancée significative dans la tendance des années 1980 à réduire les arsenaux de destruction massive.