Et ça ne sera pas terminé, il suffit de voir les hausses de prix en cascade depuis janvier 2018 à laquelle vont s’ajouter la liste de l’été comme ils ont coutume de le faire, une nouvelle occasion pour ce gouvernement au service du MEDEF pour poursuivre les mauvais coups.
Les hausse de prix, parlons en : Après le Carburant +12%, PV de stationnement à Paris +130%, avec des centaines de suppressions d’emplois à la clé, assurances + 3 à 5%, mutuelle + 5%, carte grise+ 15%, timbre Poste +10%, tabac +10%, péage routier +1,3%, Gaz+ 6,5% après les 73 % en 5 ans, Electricité + 17%, forfait hospitalier + 15%, abonnement Vélib à Paris + 30%, contrôle technique Auto+ 23%, cantine scolaire + 1 à 3%, fuel domestique + 36%, frais bancaire + 13%, les fruits et légumes etc…. Alors que le SMIC n’augmente que de 1,2% et les retraites sont en baisse de 1,7 %...
Malgré les pressions subies lors des votes dans les régions, notamment sur les cadres, plus de 95 % des cheminots sur 60 % de votants ont confirmé leur non à la réforme du gouvernement et ont ainsi conforté la grève en cours. Ce résultat doit être entendu; Le gouvernement doit revoir sa copie malgré les votes de classe de l'assemblée nationale et du sénat pour toujours plus de profits pour les grands groupes capitalistes.
Gouvernement et patronat s'accordent pour livrer le bien public aux intérêts du capital et à abaisser les conditions sociales des salariés.
Non à la venue du criminel de guerre Netanyahou en France!
Soutien aux marches du retour et à la résistance palestinienne
Non à la venue du criminel de guerre Netanyahou en France!
Annulation de la saison France Israël!
*où est annoncée l'inauguration de la saison croisée France-Israël en présence du Président Macron Et de Netanyahou.
Ce mercredi 30 mai, le gouvernement présente au conseil des ministres la mise en place d’un nouveau plan de casse des acquis sociaux. Ce plan consiste à faire des « économies sur les dépenses publiques ». Les collectivités territoriales, le fonctionnement de l’État et la Sécurité Sociale sont au premier plan des «économies » visées.
«Les aides sociales atteignent 1250 milliards» se plaint Darmanin, répétant le discours entendu sans cesse de la part des gouvernements précédents. « La France vit au-dessus de ses moyens », « les caisses sont vides », « la dépense publique plombe la compétitivité » etc.