N° 836 25/08/2023 Gardes à vue abusives, poursuites pénales à répétition, violences physiques, dégradations des locaux syndicaux, expulsions des bourses du travail, licenciements pour faits de grève…
Ces agressions se multiplient. Le patronat et le gouvernement n’usent pas seulement de tactiques institutionnelles (49-3) pour barrer la route aux revendications salariales. Ils développent une répression féroce contre les salariés en lutte et contre les militants, principalement de la CGT qui mènent le combat de classe face aux capitalistes qui s'arroge tous les pouvoirs.
La discrimination et la répression syndicale ne concerne pas quelques individus isolés, il s'agit bien de stratégies mises en place par le patronat, notamment dans les grandes entreprises, et les dirigeants des services publics, aidés par le gouvernement.
Des rassemblements des gilets jaunes ont fait l’objet d’une répression policière et judiciaire particulièrement intense. Les interventions policières ont entraîné dans plusieurs manifestations des dommages et des handicaps physiques graves : mains arrachées par les grenades, défigurations, énucléations par des tirs de balles de défense (armes de guerre).
La justice n'est pas en reste sur le non-respect de la législation sachant l'impossibilité des plaignants de porter plainte contre les conséquences des actes délibérés dont ils ont été victimes. Aux mesures de restriction des libertés pendant la crise sanitaire s’ajoutent un budget, en hausse, de15 milliards d'euros sur cinq ans pour le ministère de l'Intérieur et plus de 10.000 policiers depuis 2017….
Le seul chemin est celui de la lutte des classes ferme et résolue !
Le régime autoritaire se confirme, il s’est déjà exprimé puissamment ces derniers mois, du passage en force sur la réforme des retraites à la répression d’exception contre la jeunesse des quartiers populaires qui n'accepte pas l'assassinat de plusieurs d'entre eux, sous des prétextes fallacieux.
Le gouvernement montre qu’il ne veut rien négocier, ni retirer les lois sur le chômage, ni la réforme des retraites, ni la réforme du RSA… il continue la privatisation à outrance de tous les services publics, qu'ils soient de la santé, énergétiques, du transport, de la culture, etc...
La lutte sociale et la lutte politique sont indissociables afin de créer le rapport de force nécessaire en faveur des travailleurs et du peuple, pour lutter contre le capital jusqu’à l’abattre et construire une société enfin débarrassée de l’exploitation capitaliste.
Disneyland, IKEA, Monoprix, MSA, Vectalia, les cheminot(e)s, les salarié(e)s de la RATP, des Hôpitaux, des crèches, des EHPAD, les industries énergétiques, la chimie, le BTP, la métallurgie, la presse, la culture, sont quelques exemples de la répression éprouvée par celles et ceux qui ne veulent plus subir l'exploitation capitaliste et se battent pour un changement profond de société.
En France, les violences policières et judiciaires sont une réalité qui s'accentue de jour en jour, mises en place par un gouvernement en difficulté par la réaction de plus en plus forte dans notre pays !
En mars la répression violente des manifestants contre les bassines… En août Darmanin décrète la dissolution des Soulèvements de la Terre. Aujourd’hui La répression syndicale décidée au plus haut niveau de l’État vient de franchir un nouveau cap.
Le 6 septembre prochain, Sébastien Menesplier secrétaire général de la FNME-CGT et secrétaire de la confédération est convoqué à la gendarmerie de Montmorency dans le cadre d’actions menées par les électriciens et gaziers contre la casse de notre système des retraites
À quelques jours de la rentrée, cette convocation s’ajoute à une longue liste d’attaques à l’encontre des travailleurs de l’énergie, de la Poste, des finances, de l’aéronautique (Safran), des cheminots…
Ce qu'ils ne tolèrent pas : c'est que les travailleurs luttent et prennent le contrôle de leurs outils de travail !
La prise en main des moyens de travail par les salariés, la socialisation des moyens de production et d'échanges constitue le premier pas fondamental pour l'abolition du système capitaliste et seule la lutte du plus grand nombre pourra accélérer sa mise en place, avec ses militants, c'est l'objectif, réaffirmé à notre 9éme congrès, de notre Parti Révolutionnaire Communistes.
Ces agressions se multiplient. Le patronat et le gouvernement n’usent pas seulement de tactiques institutionnelles (49-3) pour barrer la route aux revendications salariales. Ils développent une répression féroce contre les salariés en lutte et contre les militants, principalement de la CGT qui mènent le combat de classe face aux capitalistes qui s'arroge tous les pouvoirs.
La discrimination et la répression syndicale ne concerne pas quelques individus isolés, il s'agit bien de stratégies mises en place par le patronat, notamment dans les grandes entreprises, et les dirigeants des services publics, aidés par le gouvernement.
Des rassemblements des gilets jaunes ont fait l’objet d’une répression policière et judiciaire particulièrement intense. Les interventions policières ont entraîné dans plusieurs manifestations des dommages et des handicaps physiques graves : mains arrachées par les grenades, défigurations, énucléations par des tirs de balles de défense (armes de guerre).
La justice n'est pas en reste sur le non-respect de la législation sachant l'impossibilité des plaignants de porter plainte contre les conséquences des actes délibérés dont ils ont été victimes. Aux mesures de restriction des libertés pendant la crise sanitaire s’ajoutent un budget, en hausse, de15 milliards d'euros sur cinq ans pour le ministère de l'Intérieur et plus de 10.000 policiers depuis 2017….
Le seul chemin est celui de la lutte des classes ferme et résolue !
Le régime autoritaire se confirme, il s’est déjà exprimé puissamment ces derniers mois, du passage en force sur la réforme des retraites à la répression d’exception contre la jeunesse des quartiers populaires qui n'accepte pas l'assassinat de plusieurs d'entre eux, sous des prétextes fallacieux.
Le gouvernement montre qu’il ne veut rien négocier, ni retirer les lois sur le chômage, ni la réforme des retraites, ni la réforme du RSA… il continue la privatisation à outrance de tous les services publics, qu'ils soient de la santé, énergétiques, du transport, de la culture, etc...
La lutte sociale et la lutte politique sont indissociables afin de créer le rapport de force nécessaire en faveur des travailleurs et du peuple, pour lutter contre le capital jusqu’à l’abattre et construire une société enfin débarrassée de l’exploitation capitaliste.
Disneyland, IKEA, Monoprix, MSA, Vectalia, les cheminot(e)s, les salarié(e)s de la RATP, des Hôpitaux, des crèches, des EHPAD, les industries énergétiques, la chimie, le BTP, la métallurgie, la presse, la culture, sont quelques exemples de la répression éprouvée par celles et ceux qui ne veulent plus subir l'exploitation capitaliste et se battent pour un changement profond de société.
En France, les violences policières et judiciaires sont une réalité qui s'accentue de jour en jour, mises en place par un gouvernement en difficulté par la réaction de plus en plus forte dans notre pays !
En mars la répression violente des manifestants contre les bassines… En août Darmanin décrète la dissolution des Soulèvements de la Terre. Aujourd’hui La répression syndicale décidée au plus haut niveau de l’État vient de franchir un nouveau cap.
Le 6 septembre prochain, Sébastien Menesplier secrétaire général de la FNME-CGT et secrétaire de la confédération est convoqué à la gendarmerie de Montmorency dans le cadre d’actions menées par les électriciens et gaziers contre la casse de notre système des retraites
À quelques jours de la rentrée, cette convocation s’ajoute à une longue liste d’attaques à l’encontre des travailleurs de l’énergie, de la Poste, des finances, de l’aéronautique (Safran), des cheminots…
Ce qu'ils ne tolèrent pas : c'est que les travailleurs luttent et prennent le contrôle de leurs outils de travail !
La prise en main des moyens de travail par les salariés, la socialisation des moyens de production et d'échanges constitue le premier pas fondamental pour l'abolition du système capitaliste et seule la lutte du plus grand nombre pourra accélérer sa mise en place, avec ses militants, c'est l'objectif, réaffirmé à notre 9éme congrès, de notre Parti Révolutionnaire Communistes.
Paris le 25 août 2023