Le débat public ouvert à Sorbonne Université par le parti révolutionnaire COMMUNISTES a été un succès. Ce débat a été animé par un jeune camarade récemment élu à la direction du parti. Il a permis un échange sur la situation politique en France et dans le Monde. Tous les participants ont fait le constat des dégâts du capitalisme et du profond mécontentement qui s’exprime, sous des formes diverses, dans tout le pays.
Ils ont noté la censure totale qui s’exerce à l’encontre des nombreuses luttes sociales pour les salaires, l’emploi et les conditions de travail et de la répression qui s’abat sur les militants, répression qu’il est possible de faire reculer.
A la lutte des classes le pouvoir tente de substituer des initiatives sociétales. A ces initiatives participent activement des syndicats de collaboration de classe : la CFDT, l’UNSA et la CFTC en particulier. Beaucoup d’intervenants ont souligné que les luttes revendicatives et leur coordination sont absolument nécessaires pour faire reculer le patronat et le pouvoir mais qu’en même temps il faut développer la lutte politique pour abattre le capitalisme. Cela pose la question du renforcement du seul parti révolutionnaire de ce pays : le Parti Révolutionnaire COMMUNISTES. Des intervenants ont fait observer que la lutte contre l’augmentation des frais d’inscriptions pour les étudiants extra-communautaires était juste et qu’elle préfigurait une augmentation générale de ces droits dans le cadre d’une main-mise plus poussée du patronat sur l’Université et la recherche. Le lien entre les luttes en France et dans le monde, la solidarité avec les peuples qui refusent les diktats de l’impérialisme, a permis de mesurer que la solidarité internationaliste est une absolue nécessité du mouvement révolutionnaire.
C’est dans ce contexte que la liste présentée par notre parti aux élections européennes mènera sa campagne politique sur le thème de la lutte contre l’Europe du capital.
