719-02/06/2021 Après 72 jours d’une lutte héroïque, ceux qui avait refusé de livrer Paris et la France à la Prusse,
ceux qui avaient nié le droit à la bourgeoisie défaitiste, avec Thiers à sa tête, de gouverner, ceux qui ont promu les prémices d’une République sociale et à leur tête les militants de l’Alliance Internationale de Travailleurs, furent écrasé dans le sang de ce que l’on a nommé la semaine sanglante.
Si les assassins de la Commune et des Communards sont peu à peu tombé dans l’oubli. Cette grande révolution populaire et prolétarienne a laissé des traces profondes et vivaces dans le mouvement ouvrier international. Partout dans le monde, la Commune de Paris est célébrée comme un événement majeur sur le chemin de la libération humaine.
La Commune n’est pas morte ! C’est ce qu’on dit samedi les milliers de participants au rassemblement puis à la marche vers le murs des fédérés au cimetière du Père Lachaise où furent fusillés les derniers combattants de la Commune.
Le combat de la Commune continue, c’est celui de la lutte contre un système : le capitalisme prédateur des hommes et de la nature, fauteur de guerre et qui a fait son temps, qu’il faut abattre pour construire une société humaine et fraternelle : le socialisme. C’est à cela que travaille notre Parti Révolutionnaire COMMUNISTES.